Le métier de chauffeur VTC est désormais encadré. Ainsi, il est obligatoire de respecter un certain nombre de règles pour devenir chauffeur VTC. L’une des premières lois à encadrer ce métier est la loi Thévenoud. Ensuite plusieurs autres lois ont emboité le pas, à l’image de la loi Grandguillaume qui a favorisée la limitation de certains abus. Toute personne souhaitant se lancer dans l’exercice du métier de chauffeur VTC devra réussir à obtenir un maximum d’informations à propos de cette activité. Notamment sur l’ensemble des étapes à franchir et sur les autorisations qu’il faut obtenir pour espérer devenir chauffeur VTC. A travers cet article, nous vous donnons des astuces et conseils qui vous aideront à devenir rapidement chauffeur VTC.
Quelle formation pour devenir chauffeur VTC ?
Il est simple et facile de devenir chauffeur privé ayant le statut VTC. Toutefois, il convient de passer un examen spécial. Il compte sept épreuves et il s’agit généralement d’une liste de question à choix multiples (QCM). Dans certains cas, ce sont des questions à réponses courtes (QRC), en fonction des épreuves. L’examen a une durée de trois heures et demi. Les épreuves varient entre la réglementation en matière des transports, la gestion d’entreprise et la sécurité routière. Il est vrai que l’on peut accéder au métier de chauffeur VTC sans avoir besoin de formation, mais les spécialistes du secteur recommandent de se faire former par un établissement de formation agrée. Au besoin, suivez cette formation VTC.
Obtenir une carte chauffeur VTC
Le métier de transporteur routier est différent de celui de chauffeur VTC. Le métier de chauffeur VTC refuse l’accès aux personnes ayant des capacités professionnelles similaires. Si vous souhaitez trouver un emploi de chauffeur VTC, sachez que seule l’obtention de la carte VTC donne accès à ce métier. Par ailleurs, l’état oblige un stage de formation tous les 5 ans. Aussi, les prix de ces formations varient en fonction des établissements.