C’est la crise, enfin c’est le début d’une crise inédite, avec un confinement généralisé de la population. Si l’on parle chaque jour de cette situation comme d’un film de science fiction, et les comparaisons vont bon train sur les réseaux sociaux, il ne faut pas non plus imaginer que c’est la fin du monde. En revanche cette situation particulière nous montre une chose : ce qui fonctionne, même dans une moindre mesure que d’habitude, dans cette économie au ralenti, c’est le commerce. Nous avons l’habitude de faire des emplettes, de renouveler nos smartphones, d’acheter des vêtements, des chaussures… Nous avons besoin de consommer, ce qui fait tourner le commerce.
Une formation dédiée au commerce
Aujourd’hui, durant le temps de confinement, nous n’avons pas beaucoup d’options. Mais certains s’achètent des chaussures de course en ligne pour faire du sport, d’autres des tapis de yoga et enfin il y a ceux qui, agacés de devoir partager leurs ordinateurs à la maison, en recherchent de neufs à de bons prix en ligne. En clair, le commerce a de beaux jours devant lui, tout du moins l’e-commerce ces jours-ci. Dès lors quand on est jeune et que l’on ne sait pas trop quelle orientation choisir, celle-ci est recommandée. Si l’on regarde bien, il en existe des formations comme le BTS commerce, dans toutes les grandes villes.
Un métier tourné vers l’avenir
Avec le commerce, on est sûr au moins d’apprendre à maîtriser des compétences qui seront utiles pendant toute sa vie. C’est le grand avantage, pour des jeunes qui doutent parfois du futur de notre société, qui se préoccupent des conditions climatiques, de l’environnement, tout en ayant un œil sur ce qui se passe du côté des conflits en Syrie ou en Afghanistan et qui ont besoin de croire en demain, et par la même occasion en eux-mêmes. Il leur faut pouvoir se projeter dans un avenir, dans un emploi, quitte à se permettre d’imaginer réinventer le monde dans lequel ils vivront plus tard. On peut être certain d’une chose : le commerce y aura quoi qu’il en soit sa place.